Merci à ceux qui ont suivi et jouer le jeu et aux autres aussi... Et partons donc pour ce long voyage en Paradoxie... ou pas.
J’en vois déjà qui se demandent où se trouve la Paradoxie. C’est variable. L’île, car c’est une île, voyage au gré des courants déterministes.
Le week-end du 16 avril 2011 elle se trouvait dans le Périgord Noir, quelque part entre Belvès et Sarlat pour être plus précis. C’est un endroit magnifique dans lequel je n’étais jamais venu. Le printemps y développait toute sa puissance. Le vert, je n’avais plus vu autant de vert depuis… Ai-je jamais vu autant de vert ? Je ne crois pas.
Le soleil. La lumière. La Dordogne. Où puis-je m’allonger, endormir mon âme fatiguée ?
Une demi-éternité de flânerie m’aurait suffi. Je n’avais que 36heures pour venir de Paris, courir cent kilomètres et retourner sur Paris.
Belvès. Au fil des semaines, ce nom était devenu comme une obsession.
C’est à la fin de l’année 2010 que tout a commencé, lorsque j’ai demandé à mes collègues de l’équipe des Zenculeurs de Schtroumpfs, les Blue Fuckers, ce qu’ils comptaient courir.
Ca se lit en deux secondes dans mon regard : « Avec lui on va avoir des emmerdes ». C’est que j’ai des problèmes avec la hiérarchie, la mauvaise, celle qui…Hum…